Lutte contre les actes de Violence contre soi-même et autrui favorisés par les tranquillisants et les somnifères
AAAVAM – Association nationale de défense des intérêts des victimes d’accidents des médicaments
Georges Alexandre Imbert (Président)
Objet de l'association | - Aide aux Victimes des accidents et maladies liés aux risques des médicaments. - Lutte contre les suicides et les actes de violences favorisés par les prescriptions de tranquillisants et de somnifères (anxiolytiques de la classe des Benzodiazépines et apparentés). |
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Activités principales réalisées | Informations médicales et juridiques pour les victimes et leur ayant droit. |
Téléphone | 01 41 10 87 00 |
Courriel | aaavam@orange.fr |
Nombre d'adhérents de l'association au 31 décembre de l’année écoulée | 12 000 témoignages/ environ 3 000 cotisants |
Nombre de bénévoles | 12 |
Nombre de salariés | Consultants, pas de salarié |
Territoire d’intervention de l’association | National |
Description de l'action | Actions de prévention multiples pour lutter contre les risques d'actes de violence contre soi-même (suicide) ou autrui du fait de la prise de tranquillisants ou de somnifères. - Prise de parole de les médias - Informations médicales aux usagers - Intervention dans des colloques - Expertise auprès des tribunaux |
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Thématiques associées à votre action | MédicamentsViolence |
Lieu(x) où se déroule(nt) l'action | 10 Rue de la Paix Paris 75002 |
Quand l’action a t-elle ou va t-elle débuter ? | 01/01/1992 |
Quels sont vos objectifs par rapport à cette action ? | Prévenir le risque de violence lié à la consommation de tranquillisants et de somnifères |
Si votre action est terminée, avez-vous atteint vos objectifs ? | Non |
Type de publics | Tous les publics |
Qui sont les financeurs ? | Financement par l'AAAVAM |
Territoire concerné par l’action | Urbain, Périurbain, Rural |
Une évaluation a t-elle été faite ou est-elle prévue ? | Non |
Si oui, n’hésitez pas à en préciser les modalités (remis en interne, externe, résultats obtenus ou attendus, etc.) | Malgré plus de 250 passages de l'association, ces dernières années, dans les médias, les pouvoirs publics montrent peu d’intérêt à part quelques ministres. La France vit sous tranquillisants et somnifères avec les dangers que cela représente et personne ne fait en sorte que cela change. En 2000 on a cependant obtenu, que soit ajouté dans les notices, que les benzodiazépines pouvaient favoriser un passage à l’acte suicidaire. |
Fréquence de l’action - Est-ce une action : | Journalière |
Utilisez-vous des outils pour soutenir votre action ? | Oui |
Si oui, merci de préciser les outils utilisés | Documentations et rapports divers |
Y a-t-il eu, autour de l’action, des évènements, communications orales, écrites réalisés ? | Relations presse, Sur le site de votre association, Newsletters internes, Revue de l’association/Flyers/Affiches |
Durée prévue | Illimitée |
Votre action a-t-elle fait l’objet d’un diagnostic préalable ou d’une analyse des besoins du terrain ? | Oui |
Merci de préciser | Les tranquillisants et somnifères sont souvent consommés par les personnes qui ont commettent des actes violents. C’est une donnée validée et reconnue par des experts judiciaires. Ils créent une levée des inhibitions qui favorisent en réalité les passages à l'acte violent contre soi-même ou autrui. |
Pathologies ou situations de santé à risque abordée(s) | Iatrogénie |
Le territoire d’intervention de l’action couvre l’échelle | Nationale |
Où votre action se déroule-t-elle ? | Hôpitaux, cliniques, Action itinérante, Médias / Internet |
L’action est-elle coordonnée au niveau national ? | Oui |